Synagogue de La Grande-Motte en proie aux flammes : la classe politique unanime contre l’antisémitisme

Un acte criminel devant la synagogue Beth Yaacov

Le samedi matin, un incendie volontaire a ciblé la synagogue Beth Yaacov de La Grande-Motte. Cet événement tragique a blessé un policier municipal. Les réactions politiques ont été rapides et unanimes contre cet acte qualifié de terroriste.

Réactions des autorités politiques

Le président Emmanuel Macron a pris la parole, affirmant que « tout est fait pour retrouver l’auteur » de cet acte. Il a exprimé son soutien aux fidèles et à la communauté juive de France. De son côté, Lucie Castets, candidate du Nouveau Front populaire, a réaffirmé son engagement contre l’antisémitisme. Elle a salué l’intervention des forces de l’ordre et des pompiers.

Solidarité politique

Marine Le Pen, ancienne candidate à la présidentielle du Rassemblement National, a dénoncé cet acte comme une conséquence de la montée de l’antisémitisme. Sur les réseaux sociaux, elle a insisté sur la nécessité de protéger les citoyens de confession juive. Fabien Roussel, secrétaire national du PCF, a exprimé sa préoccupation face à l’antisémitisme qu’il considère croissant en France. Il a appelé à punir les auteurs de cet acte.

Indignation des figures politiques

L’indignation n’est pas venue uniquement des figures politiques mentionnées. L’ancien président François Hollande a déclaré que lorsque « une synagogue est attaquée, c’est la France qui est visée ». Du côté du Rassemblement National, Jordan Bardella a dénoncé un « acte criminel et antisémite », appelant à une lutte implacable contre ce fléau. La chef de file de LFI à l’Assemblée nationale, Mathilde Panot, a exprimé sa profonde indignation et a adressé toute sa solidarité à la communauté juive de France.

Ces réactions politiques unanimes montrent l’importance de la mobilisation face à un acte aussi grave. La nécessité de lutter contre l’antisémitisme en France se fait de plus en plus pressante.

Hector M.