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Stéphane Plaza : un nouveau développement pour l’animateur de M6 avant son procès ?

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Stéphane Plaza face à la justice : Un procès à hauts enjeux

Ce mercredi 28 août, Stéphane Plaza se retrouve devant le tribunal correctionnel de Paris. L’animateur est accusé de violences habituelles sur deux de ses anciennes compagnes. Le Parisien a rapporté que sa défense soulève une possible illégalité qui pourrait bouleverser l’affaire.

Accusations et questions constitutionnelles

  • Depuis des mois, trois anciennes compagnes accusent Stéphane Plaza de menaces, violences physiques et verbales.
  • Le 28 août, il doit répondre de violences habituelles devant le tribunal. Sa défense a soumis des questions prioritaire de constitutionnalité (QPC).
  • La notion d’ITT et des accusations de manipulation des preuves pourraient influencer le procès.

Importance de l’ITT dans l’affaire Plaza

Cette affaire pourrait prendre un tournant majeur. Stéphane Plaza est accusé par trois anciennes compagnes de menaces et violences. Ce 28 août, il sera jugé pour des faits de violences habituelles sur deux ex-compagnes. Selon Le Parisien, sa défense met en doute la légalité des certificats ITT fournis par les victimes. Deux QPC ont été déposées pour contester ces certificats.

La notion d’ITT est au cœur de l’affaire. Elle détermine la gravité de l’infraction et la peine encourue. La première QPC concerne les règles de convocation du prévenu. La seconde, plus sensible, questionne le mode de calcul des jours d’incapacité totale de travail (ITT) accordés aux victimes. Les avocats de Stéphane Plaza, Me Carlo Alberto Brusa et Me Hélène Plumet, contestent les certificats délivrés à la première victime (dix jours d’ITT physique et six jours d’ITT psychologique) et à la seconde victime (plus de huit jours d’ITT).

Répercussions potentielles sur la procédure

Les avocats de Stéphane Plaza estiment que les certificats ITT ne sont pas suffisamment clairs. Ils affirment que cette notion varie selon les jurisprudences. Si l’ITT dépasse huit jours, le prévenu risque jusqu’à dix ans de prison et 150 000 euros d’amende. En dessous de ce seuil, la peine est de cinq ans et 75 000 euros d’amende.

Le Parisien indique que la première victime a subi une luxation et une fracture des doigts. Les certificats ITT auraient été établis par des internes en médecine, non encore diplômés. Si la cour de Cassation accepte ces QPC, l’audience sera renvoyée à une date ultérieure. Sinon, la défense plaidera le caractère habituel des violences reprochées à Stéphane Plaza.

Déclarations publiques et tensions médiatiques

Le 23 août dernier, les avocats de Stéphane Plaza ont publié un long communiqué. Ils ont porté plainte contre Sarah Brethes, journaliste de Médiapart, à l’origine de l’enquête sur l’animateur. La plainte vise des accusations de diffamation publique, harcèlement et diffusion d’un enregistrement privé.

Dans un enregistrement récemment dévoilé, on entend Stéphane Plaza s’emporter contre une ancienne compagne. Il affirme qu’elle a de la chance d’être avec lui. Selon ses avocats, une partie importante de l’enregistrement a été coupée. Ils affirment que la victime rit et crie pour embêter les voisins. L’animateur reste présumé innocent des faits qui lui sont reprochés.

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