Le fils de Jean-Luc Reichmann a réussi à empêcher un cambriolage chez eux en février dernier, selon Le Parisien.
Durant des mois, les célébrités ont vécu dans l’angoisse. En effet, Paris et ses environs ont subi une vague de cambriolages. Jean-Luc Reichmann faillit en être victime. La nuit du 28 au 29 février 2024, une tentative de cambriolage a eu lieu à son domicile de Neuilly-sur-Seine. Selon Le Parisien du 21 août, « quatre malfaiteurs gantés, cachés sous des capuches et armés d’un pied-de-biche, ont escaladé le mur d’enceinte de la résidence » à 2 h 20 du matin.
Le Réflexe héroïque du fils de Jean-Luc Reichmann
Le fils de l’animateur, alerté par des bruits et de la lumière dans la cour, a fait fuir les malfaiteurs. Il a contacté la police immédiatement. La patrouille arrivée sur place a repéré une Audi A3 suspecte. « Une course-poursuite s’est engagée jusqu’à Épinay-sur-Seine, où les occupants du véhicule ont tenté de fuir à pied avant d’être arrêtés et placés en garde à vue », rapportent nos confrères.
Des indices cruciaux retrouvés dans le véhicule des suspects
Les policiers ont découvert des cagoules, un pied-de-biche, une batte de baseball et un rouleau de scotch dans la voiture. Ces éléments ont été décisifs pour identifier les coupables. Les vidéos de surveillance et la géolocalisation des téléphones des suspects ont été analysées.
Le rôle des réseaux sociaux dans le recrutement
Au cours des interrogatoires, deux jeunes ont déclaré avoir été recrutés via Snapchat pour 200 € chacun. Ils devaient rassembler un groupe à Épinay-sur-Seine pour ensuite les emmener au domicile de l’animateur à Neuilly-sur-Seine. Les policiers ont également identifié le commanditaire grâce à un message : « Une fois fini le boulot, tu les jettes rue Archereau », indiquait l’homme surnommé Marley-10z.
Qui est le commanditaire du cambriolage ?
Derrière le pseudonyme Marley-10z se cache un homme de 24 ans, vivant avec sa mère dans le IXe arrondissement de Paris. Le Parisien révèle qu’il est connu des services de police pour divers délits. Interrogé, Marley-10z a nié toute implication, affirmant avoir prêté son compte à quelqu’un du quartier, sans dévoiler le nom. Il a été mis en examen.
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