Sylvie Tellier, ex-Miss France de 46 ans, a surpris tout le monde en participant à une discussion inattendue aux côtés de Laurent Ruquier dans l’émission « Les Grosses Têtes ». Elle, habituée aux confidences, a cette fois-ci partagé une expérience très intime, suscitant les rires sur le plateau.
La nouvelle vie de Sylvie Tellier et son mari
Mariée depuis de nombreuses années à Camille Le Maux, Sylvie Tellier vit une relation amoureuse épanouissante. Elle aborde sans réserve des sujets personnels et joue la carte de l’honnêteté. Le couple semble se réjouir des petits plaisirs complices, comme en témoignent leur mariage célébré avec faste.
Un succès professionnel remarquable
Après son mandat à la tête de Miss France, Sylvie Tellier a su se réinventer. Depuis août 2024, elle est chroniqueuse dans « Les Grosses Têtes », une émission radiophonique où elle exprime son sens de l’humour et de la répartie. « Je m’amuse beaucoup, car j’adore cette émission », a-t-elle confié à TV 7 Jours.
Une confession qui fait rire
Lors d’une discussion sur les envies masculines, Sylvie Tellier a déclaré : « Il n’y a que mon mari qui me suce les pieds ». Cette révélation a provoqué un éclat de rire général sur le plateau, y compris de Laurent Ruquier, pris de court par cette confession.
Cette blague a cependant servi de tremplin pour aborder un sujet plus sérieux : les avances inappropriées que reçoivent souvent les Miss France de la part de certains fans.
Un sujet sérieux sous-jacent
En effet, plusieurs Miss France ont rapporté des cas de harcèlement, incluant des propositions financières pour des photos de leurs pieds. Delphine Wespiser et Diane Leyre ont également été ciblées, révélant ainsi l’ampleur de ce phénomène parmi les reines de beauté.
Cette anecdote amusante de Sylvie Tellier a mis en lumière un problème souvent ignoré. Entre rires et révélations, la discussion a permis d’ouvrir les yeux sur une forme de harcèlement insidieuse mais bien réelle, dévoilant une autre facette de la vie des Miss France et des célébrités en général.
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